Colette Coulombe
Je suis née au NB dans une famille où l’amour primait. J’ai passé mon enfance entre St-Jean-Baptiste et Montréal. Quand ma famille est revenue au NB, j’étais en quatrième année. Vers l’âge de quinze ans, la religieuse qui nous enseignait avait demandé à chacun de nous d’écrire sur un bout de papier, ce qui était le plus important entre : l’argent, l’amour ou la santé. J’avais répondu l’amour. J’ai toujours été proche des gens, que ce soit un premier ministre ou un clochard, j’ai toujours été à l’aise de leur parler. Pour moi c’est l’être humain qui compte avant le statut social.
Après ma graduation du secondaire, j’ai fréquenté l’Université de Moncton. J’y suis allée pendant quatre ans mais je n’ai obtenu aucun diplôme. Deux ans en comptabilité, mon père est décédé et j’ai quitté afin de demeurer auprès de ma mère et mes frères. Par la suite, j’y suis retournée et cette fois j’ai choisi d’étudier en traduction. Résultat de mon parcours : quatre ans d’université et seulement un diplôme de douzième année. Avec ce parcours, j’ai quand même été en mesure de gagner ma vie en tant qu’adjointe administrative et commis comptable.
Passionnée par la lecture, l’écriture et les langues j’ai toujours désiré en savoir plus. Je n’ai jamais cessé d’écrire. Mes premiers textes payant, je les ai vendus au journal local L’Aviron. J’ai également écrit un article dans la revue québécoise Adorable pour les jeunes filles.
De 2002 à 2007, j’ai eu une petite entreprise de cartes de souhaits pour toutes occasions. J’avais une partenaire qui peignait de magnifiques paysages etc. Je photocopiais les peintures avec son accord et tout a bien fonctionné jusqu’à ce que quelqu’un imite mon travail.
Désirant à tout prix parler l’anglais et l’espagnol, j’ai suivi des cours privés pour me perfectionner. Je ne me considère toutefois pas comme trilingue malgré tous ces cours.
Femme heureuse, je suis comblée d’amour avec ma fille, mon petit-fils de 21 ans et ma petite-fille de deux ans. Un second petit-fils arrivera avant les fêtes 2024. Vive l’amour!
Heures de dédicaces :
Présence tous les jours à la table